What impact does the lack of women voices have on the stories being told during crises? @FullerProject's @XantheScharff discussed this, and more, with FP's @ThatAmelia and former Afghan ambassador to the U.S. @RoyaRahmani.
Listen to the full convo here: https://t.co/4K70fyAsEw pic.twitter.com/72e63FAPFr
— Foreign Policy (@ForeignPolicy) March 28, 2022
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Femmes photographes de guerre, du pareil aux mecs. Le musée de la Libération (Paris) réunit les travaux de 8 femmes photoreporters dans une exposition couvrant plus de 75 ans de conflits #journalisme #photographie
Malgré la symétrie, une année sépare les deux images en noir et blanc, respectivement datées de 1974 et de 1975. Sur la première, située au Cambodge, un enfant se tient à côté d’une toile plastifiée, dont la légende nous apprend qu’elle enveloppe le corps de son père. Quant à la seconde, localisée au Vietnam, elle montre cette fois un homme, près de son fils, dont la dépouille a été roulée dans un tissu à carreaux. Ironie du sort, l’orphelin qui fixe l’objectif apparaît également sur une troisième photo, en apparence moins tragique : pataugeant dans un cours d’eau avec d’autres gamins de son âge, il rit aux éclats en s’amusant avec des douilles d’obus.
Des clichés implacables – cependant empreints d’humanité –, entre autres symboles de l’affliction, qui partagent la double particularité d’avoir été pris, en temps de guerre, par des femmes. En l’occurrence, Christine Spengler et Françoise Demulder qui, ajoutées à six consœurs, forment la délégation internationale réunie sous la bannière «Femmes photographes de guerre», énoncé – dispensant de sous-titrage – d’une exposition accrochée jusqu’à la fin de l’année au musée de la Libération de Par…